Faux révolutionnaires, vrais corrompus

Vous cassez des vitrines comme des lâches. Pendant que les vrais criminels portent

la cravache. Vous cassez des vitrines en criant révolution, mais les vrais

coupables sont au chaud dans leur salon. Vous portez le drapeau quand la

France gagne au stade, mais vous le brûlez le lendemain qu'elle mascarade.

C'est pas le kebab du coin qu'il faut détruire, c'est la gueule des corrompus qu'il

faut punir. Maintenant, vous préférez tout saccager et c'est nous

qu'on matraque, nous qu'on fait payer. Patriote le dimanche, casseur le lundi,

vous semez le chaos, puis vous fuyez la nuit à cause de