Ma Révolution

Ouh-ouh-ouh. Ouh-ouh-ouh. Mmm-mmm. J'ai trop donné mon cœur à

ceux qui ne voyaient rien. Qui regardaient mon corps, mais jamais mon

chemin. Ils cherchaient une présence, moi, je donnais mon

âme. Mais j'ai compris trop tard que je marchais dans leurs flammes.

Aujourd'hui, je me relève plus fort qu'hier. Je marche droit, je sais c'que

je veux, ce que j'espère. Fini les ombres, les promesses qui blessent.

Je choisis la lumière, je choisis ma noblesse. Je ne perds

plus mon temps avec ceux qui ne voient pas le sens de ma vie,